Marie Josée Arseneault

Webmaster et chargée de la visibilité du réseau sur le web

Marie-Josée demeure dans la région de Montréal. Elle a une formation en psychologie de niveau doctoral de l’université de Montréal. Dre Arseneault travaille comme psychologue auprès des enfants depuis 25 ans. Elle œuvre dans le système publique (Commission scolaire) au niveau du secteur préscolaire/primaire. Elle a également combiné cette tâche en faisant de la pratique privé toujours auprès des enfants ainsi que des parents. Maman de deux jeunes femmes aux études (niveau universitaire). Elle et son mari les ont assistées et soutenues dans leurs projets personnels du programme d’études internationales afin de venir en aide à des groupes de femmes et de fillettes du Burkina Faso.

  • 1) En 2008: Amasser des fonds afin d’acheter du matériel pour offrir une boîte, aux femmes burkinabés opérées à Ougadougou par une équipe chirurgicale québécoise afin de « réparer » leur organes génitaux mutilés par l’excision, comprenant le nécessaire à une réhabilitation sociale (trousse de premiers soins, serviettes hygiénique, etc.). Cet acte laisse souvent des séquelles physiques, psychologiques et sociales. En effet, l’excision devient un problème de santé très important pour des millions de femmes; ce problème de santé devient également un problème de société car les complications physiques que peut provoquer l’excision entraînent également l’exclusion et l’isolement social de ces femmes qui en viennent à être considéré comme des parias par leur pairs. Pour cela, Frédérique a dû faire des activités d’information auprès de la communauté québécoise afin de sensibiliser les gens aux misères que vivent les filles victimes d’excision.
  • 2) En 2010: Amasser des fonds pour l’achat d’un moulin afin d’aider les femmes et les fillettes de Djouga (village dans le nord du Burkina Faso). Lors d’un séjours en ce pays en 2009, Camille constate que dans les campagnes, ce n’est pas le chant du coq qui réveille les habitants du Burkina Faso, mais plutôt les chocs retentissants des pilons dans les mortiers à mil : dès 3h du matin, les femmes du village doivent se lever pour moudre le mil, d’où l’importance de leur fournir un moulin. Dans cette région, le mil représente plus de 30% de l’apport alimentaire des gens, une telle tâche demeure donc essentielle à la vie quotidienne; cette tâche est ardue, pénible et demande un temps considérable pour les femmes ainsi que pour les jeunes filles au détriment de leur scolarisation. Pour ce faire, Camille a dû informer et susciter l’intérêt du public québécois afin de collecter un maximum de fonds nécessaires pour l’achat de ce moulin. Ce dernier a été personnellement livré au village de Djouga en décembre 2010. Ce moulin, qui fonctionne au gasoil, a permis aux femmes de moudre le mil beaucoup plus facilement et rapidement, il leur a fourni un moyen de réduire le temps et l’effort requis par cette tâche, réservée aux femmes et aux filles.
La famille et des amis ont également contribué a quelques reprises, par la mise sur pieds de levés de fond, à soutenir une école de ce village au niveau du matériel scolaire (2009, 2010, 2011?). Ils ont également réussit à fournir du matériel pharmaceutiques à un dispensaire d’un village dans le sud du Burkina.

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